Présentation de la commune
Lhor est un petit village français situé dans le département de la Moselle, au sein de la Communauté de Communes du Saulnois. La commune s’étend sur 5,4 km², avec une densité de 25,4 habitants par km². Situé à 229 mètres d’altitude, le Ruisseau la Rode, le Ruisseau de l’Etang de Lhor, le Ruisseau de l’Etang du Moulin d’Insviller sont les principaux cours d’eau qui traversent la commune de Lhor. Au palmarès 2022 des villes et villages ou il fait bon vivre, Lohr se retrouve à la 295 / 367 des Communes mosellanes de moins de 500 habitants.
En images
- Votre mairie
- Adresse
31 rue Principale
57670 LHOR
- Horaires de la mairie
Mardi : 14h – 15h30
Jeudi : 10h – 11h30
- Nous joindre
Conseil Municipal
Maire : Philippe METZGER
1ère adjointe : Cindy ROESSLER
2ème adjoint : Vincent FOLMER
Antoine FISCHER
Virginie FOLMER
Franck KREMER
Gilles OUDER
Anastasia PHILIPPS
Karine SEILER
Emmanuel WAGNER
Damien WEYH
Téléchargements
Scolarité
18 rue principale 57670 INSVILLER
mairie.insviller@wanadoo.fr
03 87 01 68 12
Périscolaire :
isabelle.stocky@sfr.fr06 03 25 42 99
Délibérations
Mon service public
Question-réponse
Contrôleur général des prisons : comment le saisir ?
Vérifié le 27/01/2021 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre), Ministère chargé de la justice
Le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) veille au respect des droits fondamentaux des personnes privées de libertés. Il est indépendant. Il a le pouvoir d'inspecter tous les lieux de privation de liberté par les autorités : prisons, cellules de garde à vue, hôpitaux psychiatriques, centres de rétention, etc. Le Contrôleur peut être saisi par les personnes privées de liberté ou par une personne qui a connaissance d'une atteinte à leurs droits.
Le CGLPL peut être saisi du cas d'une personne enfermée ou placée dans l'un des lieux suivants :
- Établissement pénitentiaire (prison)
- Établissement de santé (hôpital psychiatrique par exemple, pour les personnes privées de leur liberté d'aller de de venir dans un tel établissement)
- Cellule de garde à vue
- Centre de rétention administrative ou de rétention douanière
- Zone d'attente de port ou d'aéroport
- Dépôt d'un palais de justice (cellule où sont placés les personnes avant leur procès ou leur audition par un magistrat)
- Centre éducatif fermé
- Véhicule servant au transport des personnes privées de liberté (fourgon de police...)
Le CGLPL peut être saisi par les personnes suivantes :
- Personne privée de liberté, même mineure ou de nationalité étrangère
- Parents ou tout proche d'une personne privée de liberté
- Avocat d'une personne privée de liberté
- Témoin
- Membre du personnel intervenant dans l'établissement
- Association ou une personne morale ayant pour objet le respect des droits fondamentaux
- Gouvernement, les parlementaires ou une autre autorité administrative indépendante
Il peut également décider de se saisir de sa propre initiative.
Le CGLPL peut recevoir un signalement pour les motifs suivants :
- Atteinte aux droits fondamentaux d'une personne privée de liberté ou qui l'a été récemment (droit à une vie privée, à un avocat...)
- Mauvaises conditions de garde à vue, de rétention ou d'hospitalisation d'une personne (conditions d'hygiène, alimentation...)
- Mauvais fonctionnement d'un établissement pénitentiaire ou d'une unité de santé recevant des personnes hospitalisées sans leur consentement. Par exemple, si un prisonnier ne peut pas avoir accès à un médecin.
Par courrier
Le CGLPL peut être saisi par simple courrier postal.
Où s’adresser ?
Par courrier
16/18, quai de la Loire
CS 70048
75921 Paris Cedex 19
Par téléphone
01 53 38 47 80
Par messagerie
Accès au formulaire de contact
Il n'est pas possible de faire un signalement anonyme. Le courrier doit être signé. En revanche, le nom de la personne ayant fait le signalement ne sera pas révélé par le CGLPL.
À savoir
si c'est une personne en prison qui écrit, le courrier ne peut pas être contrôlé par l'établissement.
En entretien physique
Une personne enfermée, ses proches ou les personnels de l'établissement peuvent rencontrer le CGLPL à l'occasion d'une de ses visites dans l'établissement concerné. Ces entretiens sont confidentiels.
Les permanences d'accueil sont affichées dans l'établissement et dans les locaux d'accueil des familles.
Où s’adresser ?
Le CGLPL adresse un rapport de visite aux ministres concernés par le lieu de privation mis en cause.
S'il l'estime nécessaire, il fait des recommandations pour améliorer la situation.
Il peut décider de rendre publics ces rapports.
En cas d'infraction commise, le CGLPL peut effectuer un signalement au procureur de la République. Il peut aussi saisir les instances disciplinaires des agents publics impliqués dans la violation des droits fondamentaux des personnes détenues.
©
Direction de l'information légale et administrative
comarquage developpé par baseo.io