Présentation de la commune
Vic-sur-Seille se situe dans le Département de la Moselle et fait partie du Pays Saulnois, au coeur du Parc naturel régional de Lorraine. Son passé a été longuement marqué par des périodes de prospérité liées au sel, à la viticulture et à la présence des Evêques de Metz qui ont fortement influencé son originalité architecturale. Outre son Musée qui porte le nom du plus célèbre enfant du pays, le peintre Georges de La Tour (1593-1652), la cité recèle de nombreuses curiosités dans ses rues étroites et pavées, en ensemble d’édifices à l’architecture remarquable, blottie dans une vallée paysagère et identitaire. Le vignoble vicois y occupe une place toute particulière. Avec près de 8 hectares plantés dans l’aire AOC Moselle, les vins de Vic (gris, blancs, rouges, tranquilles ou effervescents) contribuent à la renommée de la cité. La Commune s’étend sur 19,5 km², avec une densité moyenne de population de 68 habitants par km² et fait partie de l’aire d’attraction de Nancy, dont elle est l’une des communes de la Couronne. Au palmarès 2022 des villes et villages ou il fait bon vivre, Vic-sur-Seille se retrouve à la 174 / 252 des Communes mosellanes de plus de 500 habitants et de moins de 2 000 habitants.
En images
- Adresse
22 place Philippe Leroy
57630 VIC SUR SEILLE
- Horaires de la mairie
Lundi : 9h – 12h et 14h – 17h
Mardi : 9h – 12h et 14h – 17h
Mercredi : 9h – 12h et 14h – 17h
Jeudi : 9h – 12h et 14h – 17h
Vendredi : 9h – 12h et 14h – 17h
- Nous joindre
Conseil Municipal
Maire : Jérôme END
1ère adjointe : Agnès MASCHINO
2ème adjoint : Olivier KUNTZ
Maxime BEY
Philippe CLASQUIN
Stéphane CORBEIL
Patricia DOSSMANN
Viviane GODOT
Amandine LUCHS
Peggy MIELE
Sylvie SCHELLENBERG
Xavier URBAIN
Téléchargements
Scolarité
22 place Philippe Leroy 57630 VIC SUR SEILLE
mairie.vicsurseille@wanadoo.fr
03 87 01 14 14
Périscolaire :
noelle.periscolaire@orange.fr03 87 05 91 37
Délibérations
Mon service public
Question-réponse
Un salarié peut-il être licencié à cause du retrait de son permis de conduire ?
Vérifié le 27/07/2022 - Direction de l'information légale et administrative (Première ministre)
Oui, dans certaines conditions, un salarié dont le permis de conduire est suspendu ou retiré peut être licencié. Les motifs du licenciement sont différents si l'infraction est commise pendant le temps de travail ou en dehors du temps de travail. Le licenciement peut aussi être décidé à la suite d'une inaptitude à la conduite. Il peut être justifié si les fonctions du salarié nécessitent l'usage régulier d'un véhicule.
L'employeur envisage le licenciement du salarié
L'employeur peut licencier le salarié si l'infraction commise pendant le temps de travail entraîne une suspension ou un retrait de son permis.
Selon les circonstances, il va s'agir d'un licenciement <a href="/commune/commune119/?xml=F1137">pour faute</a> simple ou grave.
La faute grave peut être reconnue, par exemple, si le retrait ou la suspension du permis d'un chauffeur routier est décidé à la suite d'une conduite en état d'ivresse pendant les heures de travail.
Autres possibilités pour l'employeur
A la suite d'une suspension ou au retrait du permis d'un salarié, l'employeur peut proposer de suspendre son contrat de travail par la prise de congés payés ou d'un congé sans solde, par exemple.
Il peut également proposer une affectation temporaire sur un autre poste, ou un travail en binôme avec un salarié possédant le permis, par exemple.
Des <a href="/commune/commune119/?xml=R51533">dispositions conventionnelles</a> peuvent prévoir une obligation de recherche de reclassement (secteur des transports routiers, par exemple). Dans ce cas, le licenciement ne peut être effectif qu'en l'absence de reclassement possible.
À noter
<a href="/commune/commune119/?xml=F31235">l'employeur peut demander</a> au salarié qui conduit un véhicule dans le cadre de ses fonctions de lui présenter son permis <a href="/commune/commune119/?xml=F31235">pour s'assurer que le permis n'est ni suspendu, ni annulé</a>. En revanche, il ne peut pas demander à connaître le nombre de points restant, car cette information est personnelle.
L'employeur envisage le licenciement du salarié
Lorsque le salarié perd son permis de conduire pour une infraction commise en dehors du temps de travail, le licenciement pour faute simple ou grave n'est pas possible.
Par contre, un <a href="/commune/commune119/?xml=F2835">licenciement pour motif personnel</a> non disciplinaire est possible si les fonctions exercées par le salarié implique la conduite d'un véhicule.
L'employeur doit faire état de la gêne occasionnée à l'entreprise dans son fonctionnement et de l'impossibilité pour le salarié d'exécuter le contrat.
Par exemple, pour un salarié qui exerce les fonctions de livreur, le retrait de permis de conduire pour une durée de 6 mois peut constituer une cause réelle et sérieuse de licenciement.
Autres possibilités pour l'employeur
A la suite d'une suspension ou au retrait du permis d'un salarié, l'employeur peut proposer de suspendre son contrat de travail par la prise de congés payés ou d'un congé sans solde, par exemple.
Il peut également proposer une affectation temporaire sur un autre poste, ou un travail en binôme avec un salarié possédant le permis, par exemple.
Des <a href="/commune/commune119/?xml=R51533">dispositions conventionnelles</a> peuvent prévoir une obligation de recherche de reclassement (secteur des transports routiers, par exemple). Dans ce cas, le licenciement ne peut être effectif qu'en l'absence de reclassement possible.
À noter
le fait de dissimuler le retrait de son permis survenu en dehors du travail, tout en continuant de conduire un véhicule de l'entreprise, peut justifier un licenciement <a href="/commune/commune119/?xml=F1137">pour faute</a>.
Le salarié peut être reconnu inapte à la conduite par le médecin du travail ou par un médecin agréé par le préfet du département.
Sauf si une mention sur l'avis d'inaptitude l'en dispense, l'employeur devra chercher à reclasser le salarié.
L'employeur peut le licencier <a href="/commune/commune119/?xml=F726">pour inaptitude</a> dans les cas suivants :
- Refus par le salarié de l'emploi proposé par l'employeur
- Justification par l'employeur de l'impossibilité de proposer un autre emploi
- Mention dans l'avis du médecin du travail que le maintien dans un emploi serait gravement préjudiciable pour la santé du salarié
- Mention dans l'avis du médecin du travail que l'état de santé du salarié rend impossible tout reclassement dans un emploi
Attention :
des <a href="/commune/commune119/?xml=R51533">dispositions conventionnelles</a> peuvent prévoir une obligation de recherche de reclassement (secteur des transports routiers, par exemple). Dans ce cas, le licenciement pourra être effectif qu'en l'absence de reclassement possible.
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Code de la route : article L223-7
Informations relatives au permis de conduire du salarié
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Code du travail : articles L1226-10 à L1226-12
Inaptitude consécutive à un accident du travail ou à une maladie professionnelle
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Code du travail : articles L1226-2 à L1226-4-3
Inaptitude consécutive à une maladie ou un accident non professionnel
Questions ? Réponses !
Et aussi
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Indemnité de licenciement du salarié en CDI
Travail - Formation
-
Indemnité compensatrice de congés payés
Travail - Formation
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